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Le mot de Didier COLPIN
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24 mai 2013

Publié le vendredi 22 juillet 2011 à 10H49 -

 Publié le vendredi 22 juillet 2011 à 10H49 -

 

Didier Colpin aura le droit de s'exprimer sur les différents supports de communication, de la communauté de communes.

 

 

Même si on le dit fréquemment lors des réunions de la communauté de communes de la région de Guise, Didier Colpin, délégué, n'a pas toujours tort, le tribunal administratif vient de lui donner raison.
Le maire du village de Noyales, très pointu sur tout ce qui touche les lois de la République, est au sein de la communauté, l'empêcheur de tourner en rond.
Didier Colpin avait demandé à pouvoir s'exprimer dans les bulletins d'information diffusés à la population. Un droit prévu par la loi, mais ce n'était pas l'avis de la présidente, Odile Gourlin. Celle-ci a fait voter son conseil pour lui refuser de s'exprimer.
Didier Colpin, après avoir expliqué qu'elle agissait contre les textes législatifs, a demandé au tribunal administratif de trancher.
Le jugement est tombé, Didier Colpin aura non seulement une rubrique dans le bulletin d'information, mais devra avoir aussi le droit de s'exprimer sur le site Internet et, en plus, il doit pouvoir bénéficier d'un local au siège de la communauté de communes.
Pour ces deux derniers avantages, ils ne sont pour l'heure toujours pas accordés.
Pour Didier Colpin, « il y a dans l'action de la présidente, un abus de pouvoir faisant croire au conseil communautaire que l'on pouvait aller contre la loi ». Mais l'élu n'en reste pas sur ce succès.
Il avait averti les membres du conseil que, dorénavant, il enregistrait les propos des réunions. Tollé dans la salle, si bien que tous étaient sortis, laissant Didier Colpin seul.
Là aussi, l'élu avait raison et depuis le début de l'année, toutes les réunions sont enregistrées.
Reste un combat pour ce maire de village, la piscine. Rien n'est gagné pour lui, mais rien n'est perdu non plus. Il conteste la validité du permis de construire, qui n'a ainsi jamais été à l'ordre du jour d'une réunion.
Là aussi, une requête a été faite auprès du tribunal administratif, qui devrait prochainement rendre sa décision. S'il obtenait gain de cause, ce serait un cataclysme, un terrible revers pour la présidente qui, sur ce point aussi comme pour ceux précédemment évoqués, est sûre d'être dans son bon droit.

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